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Sur les 26 provinces que compte la RDC, 22 ont désormais un nouveau gouverneur à leur tête. Mais, si le renouvellement est bel et bien effectif sur le papier, les partisans de l’ancien président Joseph Kabila, rassemblés au sein du Front commun pour le Congo, gardent la haute main sur la quasi-totalité des postes. Et le profil de certains de ces nouveaux gouverneurs fait polémique.
Un renouvellement de façade ? C’est le sentiment qui se dégage au lendemain de l’élection des gouverneurs, qui a débouché sur un nouveau raz-de-marée en faveur du Front commun pour le Congo, la coalition qui s’est donnée l’ancien président pour « autorité morale ». Les partisans de Joseph Kabila ont raflé 16 des 22 sièges lors de ce scrutin au suffrage indirect, après avoir remporté la majorité à l’Assemblée nationale, au Sénat et au sein des Assemblées provinciales. Le propre frère de l’ancien président, Zoé Mwanza Kabila, accède au poste de gouverneur dans la province du Tanganyika. Et il n’est pas la seule personnalité, parmi les nouveaux gouverneurs, à retenir l’attention, voire à faire polémique.
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