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Le photographe Youssef Nabil présente son univers recolorisé jusqu’au 12 janvier à l’Institut du monde arabe de Tourcoing, dans les Hauts-de-France. Son ambition : pérenniser l’âge d’or sensuel du cinéma égyptien.
« L’accrochage a été réalisé sans tenir compte de la chronologie », prévient en préambule de la visite Françoise Cohen, directrice de l’Institut du monde arabe de Tourcoing, qui a assuré le commissariat de l’exposition. La remarque pourrait presque passer pour de l’ironie tant les images de Youssef Nabil semblent toutes figées dans un passé lointain et impossible à dater.
Natacha Atlas, ex-diva de l’électro, apparaît en odalisque de la peinture orientale. Catherine Deneuve pose avec une mantille, long tissu utilisé dans une partie du pourtour méditerranéen pour se couvrir les cheveux… jusque dans les années 1960. Dans ses autoportraits, le photographe se figure lui-même de dos, dans une djellaba blanche, et ses mises en scène épurées maintiennent savamment le flou temporel.
Cohérence
Youssef Nabil n’est plus un inconnu. Et ses clichés de stars (Sting, Alicia Keys…) ont permis au
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