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Un atelier de travail organisé conjointement par l’Association des recteurs/assistants-recteurs des collèges et le ministère de l’Éducation.
En cette dernière semaine des vacances du deuxième trimestre, les chefs d’établissements du secondaire d’État se concerteront ce mercredi sur le comportement violent des jeunes à l’école et sur les nouvelles formes d’indiscipline scolaire. Comment gérer ces nouvelles situations et y a-t-il aussi une nouvelle manière de faire pour contrer le problème ? Deux questions au centre d’une journée de réflexion organisée par l’Association des recteurs mercredi à Aanari Hotel, Flic-en-Flac, et à laquelle participeront une centaine de personnes du secondaire d’État et privé.
« Les cas de violence parmi les collégiens largement répercutés sur les réseaux sociaux depuis le début de l’année nous ont beaucoup choqués et nous interpellent. Les protocoles du ministère de l’Éducation pour contrecarrer le problème ne cadrent plus aux nouvelles réalités », croit fermement Soondress Sawmynaden, président de l’Association des recteurs de l’État. Ce dernier est d’avis qu’il est « grand temps de revoir la stratégie », et ce en tenant compte toutes les parties composant la communauté scolaire, car chaque partenaire de l’école, selon lui, a un rôle bien spécifique. « Si nous voulons une stratégie efficace, nous devons veiller à ce que les “policy decisions” ne soient pas “one-sided” », estime Soondress Sawmynaden.
L’initiative de cet atelier de travail revient au syndicat des recteurs de l’État et, à la dernière minute, le ministère s’y est associé afin de ne pas être à la traîne sur une question aussi importante et qui préoccupe de plus en plus les adultes et les personnes en poste de responsabilité dans des institutions publiques et privées. Les dirigeants du syndicat des recteurs espèrent une « discussion franche » pour déboucher sur des recommandations à soumettre ensuite aux autorités de l’éducation.
« Nous ne prétendons pas détenir toutes les solutions concernant la violence des jeunes mais nous sommes dans la réalité quotidienne de l’école. De ce fait, nous sommes dans une position pour faire des propositions au ministère et ce sera notre contribution pour aider à combattre le problème », explique Soondress Sawmynaden. Il ajoute : « J’avoue que parfois les profs et les recteurs se trouvent devant des cas bien difficiles mais, croyez-moi, nous voulons tous le bien-être des élèves et celui du personnel enseignant et non-enseignant. »
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