Outre le cas de Clency Harmon, plusieurs autres cas pour dépossession ou expropriation de terres sont avérés devant la Commission Vérité et Justice. Instituée en 2009, elle avait comme objectif, entre autres, de faire une évaluation des conséquences de l’esclavage pendant la période coloniale jusqu’à maintenant et d’enquêter sur des plaintes formulées par ceux lésés par une dépossession ou une expropriation de terres. De juillet 2009 à juin 2010, 230 demandes ont été faites auprès de la Commission à ce sujet. On fait le point avec Claudette Geoffroy Gadevadoo.