Une mère pleure le décès de son fils et se réveille le lendemain en apprenant le décès de son deuxième fils

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Par : Amelie B
Publié le : 27 juillet 2019 à 10 h 58 min
Article corrigé le : 26 juillet 2019

Opinion

Les faits

S’il y a bien une chose de sûre dans la vie, c’est qu’il ne faut jamais rien prendre pour acquis car personne n’est à l’abri d’un drame. C’est ainsi que le monde de Rosemary Davies a basculé après la nouvelle dévastatrice de la perte de son fils Scott. Robert, son second fils a aussitôt accouru chez sa mère pour lui prodiguer tout le soutien possible.

Une mère pleure le décès de son fils et se réveille le lendemain en apprenant le décès de son deuxième fils

Restés à discuter assez tardivement la nuit, ils s’endormirent tous avec l’espoir d’un peu de répit. Hélas, tel ne fut point le cas car la maisonnée s’est réveillée sur les cris terrifiants de la petite amie de Robert, dont la bouche était couverte de sang. Malgré les nombreux efforts de son beau-père Paul ainsi que ceux des ambulanciers, le jeune homme n’a pas survécu.

Une mère pleure le décès de son fils et se réveille le lendemain en apprenant le décès de son deuxième fils

En proie à une tristesse profonde, Rosemary, totalement détruite par ces deux pertes irremplaçables confie, « Je ne réalise pas que mon fils est mort et que le deuxième a succombé aussi. Je n’ai qu’une seule envie : les rejoindre dans la tombe ! Mais je ne peux me permettre de baisser les bras, pas quand Liam, mon petit-fils de 18 ans et Leo, âgé de 6 ans ont besoin de moi. Mon cœur est brisé pour le moment mais j’ai espoir qu’ils vont m’aider à le remplir.»

« Le plus important pour moi était de leur avoir tenu la main à chaque étape du chemin et d’avoir tout mis en œuvre pour qu’ils aient tout ce dont ils avaient besoin » ajoute-t-elle.

Une mère pleure le décès de son fils et se réveille le lendemain en apprenant le décès de son deuxième fils

Comment faire face à la mort subite d’un enfant

Sans conteste l’une des pires épreuves qu’un être humain puisse endurer, parce que quand des proches à l’âge assez avancé décèdent, on trouve toujours le moyen d’honorer leurs exploits passés pour ensuite intégrer leur disparition dans le processus naturel de la vie.

Mais quand ce sont des enfants qu’on arrache à leurs parents, il n’y a aucun mot qui puisse expliquer l’acuité de cette suffocante perte ou lui donner un quelconque sens.

Voici quelques conseils pour rendre le deuil d’un enfant un peu plus supportable.

Rester soudés

Être ensemble dans une épreuve aussi insurmontable permet de se rendre compte que la douleur est partagée par nos êtres chers et que l’on n’est pas seul face à cet immense chagrin. La compagnie des amis et des proches est cruciale dans un moment pareil car elle renforce le sentiment d’appartenance dans le deuil.

Accepter de l’aide

Même si c’est difficile, il est important de demander de l’aide et de pouvoir déléguer. Déjà parce que l’énergie manque pour effectuer ne serait-ce que les tâches les plus simples telles que manger, dormir, se reposer, se doucher…. Et que ces petits gestes restent essentiels à votre guérison.

Recourir à de l’aide professionnelle

Malgré toute leur bonne volonté, vos proches peuvent ne pas trouver les bons mots ou s’avérer maladroits dans leurs tentatives de réconfort. Dans ce cas il faut absolument demander une aide plus qualifiée qui aura les compétences nécessaires pour vous soulager et valider votre ressenti.

Se préparer doucement à « l’après-deuil ».

Voyez-vous, en cas de décès, on peut distinguer deux périodes :

–              Le “tout de suite” après : Présence d’une très large communauté d’amis et de famille, gestion des funérailles, préparation des services commémoratifs…

–              Et “l’après” : Le moment où la maison se vide, où tous ont quitté pour vaquer à leurs occupations et que les endeuillés commencent à affronter seuls leur nouvelle vie sans l’être perdu.

Trouver un défouloir créatif

Exprimez votre chagrin à travers une activité exutoire qui vous permettra de donner libre cours à vos sentiments (tenue d’un journal, dessin, peinture…). N’ayez pas peur de disposer de votre créativité pour donner du sens à vos ressentis, cela participera à votre processus de guérison.



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