[ad_1]
Pour Eugène Diomi Ndongala, la liberté a un goût d’inachevé. Le président du parti Démocratie chrétienne figure parmi les prisonniers politiques qui ont été libérés, en mars, sur instruction de Félix Tshisekedi, élu à la tête de la RD Congo trois mois plus tôt.
Condamné en 2014 pour viols sur mineurs, il purgeait une peine de dix ans de détention à la prison de Makala, à Kinshasa. À sa sortie, cet opposant radical, qui fut proche de feu Étienne Tshisekedi, avait dit pardonner à ceux qui l’avaient mis derrière les barreaux.
[ad_2]
Source link
Have something to say? Leave a comment: