Une éducatrice en garderie allaitait secrètement un bébé dans le dos de sa mère pendant des mois

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Une mère aime être la seule à décider pour le bien-être de son enfant et ne tolérerait en aucun à ce qu’une autre personne le fasse à sa place. C’est le cas d’une maman préférant rester anonyme, dont l’histoire est relayée par Indy100 INDEPENDENT, et qui a reçu un choc lorsqu’elle a découvert ce que faisait l’éducatrice de son bébé dans son dos, en son absence.

Lorsque des parents engagent des éducatrices ou des baby-sitters pour s’occuper de leurs enfants en leur absence, ils le font en toute confiance, surtout lorsque ces personnes proviennent d’agences spécialisées dans le domaine. Seulement, on ne peut jamais être à l’abri d’une mauvaise surprise comme celle qu’a vécue une mère célibataire, obligée de confier son bébé à une garderie.

Une éducatrice qui s’accapare le rôle de nourrice

Lorsque la maman a confié sa petite fille à la garderie pendant qu’elle était au travail, elle a donné toutes les consignes et les règles à respecter à l’éducatrice qui devait s’en occuper. Aussi, comme la maman était dans l’incapacité de fournir du lait maternel à son bébé adopté, elle a demandé à l’éducatrice de lui donner des biberons avec du lait infantile. L’éducatrice ne s’est pas gênée pour critiquer ce mode alimentaire qu’elle trouvait malsain mais la maman du bébé n’y avait pas prêté attention.

Mais quelques mois plus tard, alors qu’un jour, la maman est sortie tôt de son travail pour récupérer son bébé qu’elle avait hâte de revoir, qu’elle n’en fut sa surprise lorsqu’elle a intercepté  l’éducatrice en train de donner le seinà sa fille, chose d’ailleurs, qu’elle faisait depuis le premier jour de son placement à la garderie. Choquée, la maman ne comprenait pas ce qui arrivait et la gardienne a tout simplement rétorqué qu’elle lui rendait service en donnant du bon lait à son bébé, au lieu des produits chimiques contenus dans le lait infantile avec lequel  elle voulait la nourrir.

Communiquant le problème à la revue Slate, sa découverte a été relatée dans une colonne de conseil rédigée parDaniel Mallory Ortberg. Cette dernière lui a conseillé de signaler cette violation aux autorités et d’autres internautes, outrées par cette nouvelle lui ont conseillé également  de poursuivre sur cette voie afin de proclamer cet outrage à la vie personnelle de la maman, puisque, par cet acte, selon elles, le bébé aurait pu être contaminé par une quelconque maladie via le lait maternel de l’éducatrice.

Y a-t-il un risque de transmission de maladies infectieuses par le lait maternel ?

Selon le Figaro Santé, en France, le taux d’allaitement enregistre un taux de 71 % à la naissance des bébés et la durée d’allaitement est d’environ 3 mois, ce qui est loin des recommandations aussi bien françaises qu’internationales (au moins 6 mois).

Par ailleurs, d’après les Centers for Diseases Control and PreventionCDC, le lait maternel, en général permet de protéger les bébés et nourrissons contre les maladies infectieuses, rhume et autres virus. Toutefois, si l’enfant a reçu par erreur ou par une autre intention, le lait maternel d’une femme autre que sa mère, il est indispensable de connaitre à tout prix les antécédents de maladies de la maman qui a donné son lait.

Aussi, il s’agit de savoir si cette femme suit actuellement un traitement médicamenteux, si elle a des antécédents infectieux et si ses mamelons saignent au cours de l’extraction du lait.

Toutefois, selon le CDC, il est très rare que des maladies soient transmises par le lait maternel, puisque les anticorps maternels qui sont transmis via le placenta, préviennent les maladies du nourrisson. Mais pour le virus duVIH, l’allaitement au sein peut d’après une étude augmenter le risque de transmission de 25%. 

Cependant, pour l’hépatite B et C, la transmission de ces maladies par lait maternel est quasiment nulle sauf en cas d’exposition au sang. Ainsi, et pour corroborer la thèse de la précédente étude, une recherche a déterminé que le bébé peut être contaminé par des agents pathogènes provenant de la mère par le biais des sécrétions respiratoires ou par des gouttelettes provenant du virus de la grippe ou par le toucher des lésions du mamelon. Aussi,  l’allaitement maternel est rarement contre-indiqué lors d’infections maternelles, à moins qu’il n’y ait un risque de VIH.

Dans le même  contexte, en cas d’allaitement, certains médicaments pris par  la mère peuvent être transmis à raison de 1% de la dose du traitement. PARENTS, explique que les médicaments nocifs sont ceux qui demeurent longtemps dans le sang de la mère. Concernant les drogues, il est bien entendu déconseillé de consommer du cannabis ou autres drogues.



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