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DécryptagesLes projets stratégiques et commerciaux chinois sur l’île témoignent des dérives financières de la famille Rajapaksa, de retour à la tête du pays depuis l’élection de Gotabaya Rajapaksa à la présidentielle du 16 novembre.
Le retour au pouvoir de la famille Rajapaksa
Sept mois après les attentats de Pâques, le Sri Lanka a fait le choix du sécuritaire et rappelé au pouvoir le clan Rajapaksa, en élisant à la présidence, samedi 16 novembre, l’un des frères, Gotabaya. Ancien secrétaire à la défense, il écrasa dans un bain de sang la guérilla tamoule lorsque son aîné, Mahinda, était chef de l’Etat (2005-2015).
Une famille qui incarne la majorité cinghalaise bouddhiste
Une famille qui a mis fin brutalement à 26 ans de guerre civile
Gotabaya Rajapaksa s’est imposé aux élections de novembre 2019
Un contexte d’une nouvelle montée de l’insécurité
Un pays passé sous l’emprise économique chinoise
Le Sri Lanka est à un carrefour stratégique, entre Inde et Chine. Après avoir été mis au ban des nations pour les crimes de guerre de la fin de la guerre civile (2009), les Rajapaksa se sont tournés vers la Chine. Une multitude de projets d’infrastructures chinois, plus ou moins inutiles, ont fleuri.
La multiplication des projets chinois, au sud de l’île, symbole des dérives financières des Rajapaksa
Des investissements stratégiques pour Pékin dans son projet de « nouvelle route de la soie » chinoise
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