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Avec son précédent roman, « Le Fou du roi », Mahi Binebine nous avait ouvert les portes du palais de Hassan II. C’est une tout autre sorte de cour que l’on découvre dans « Rue du Pardon ».
À travers le regard de Hayat, 14 ans, on suit la vie dans le lupanar d’un quartier populaire de Marrakech. Pour échapper à son père, qui abuse d’elle avec le silence complice de sa mère, la jeune fille fuit chez la diva Serghinia, qu’elle surnomme « Mamyta ». Elle est fascinée à la fois par la danseuse envoûtante et par la patronne à la poigne de fer, aussi crainte pour les ragots qu’elle colporte qu’adulée pour son charme hypnotique.
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