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Pour Soufiane Djilali, président du mouvement politique Jil Jadid, « la transition engagée n’offre aucune véritable issue pour aller vers la fin du système ».
Jeune Afrique : Vous appelez à négocier la sortie de crise avec l’armée, « véritable détentrice du pouvoir », dites-vous. Le scénario à l’égyptienne est-il écrit d’avance ?
Soufiane Djilali : Ce serait un scénario bien trop compliqué pour l’Algérie. Les conditions générales du pays ne permettent pas une gestion directe par l’armée. Mon appel au dialogue vise à débloquer une situation qui s’enlise dans un pseudo-formalisme qui n’aboutira à rien. Ici, nous savons tous que l’armée reste l’actrice principale dans les décisions stratégiques. Sous Bouteflika, elle s’était cantonnée à son rôle tel que défini par la Constitution. Mais lorsqu’il y a une grave crise de gestion de l’État – comme c’est le cas actuellement – , c’est vers elle que les regards se tournent.
>>> À LIRE – [Analyse] Au Soudan comme en Algérie, pourquoi craindre un scénario « à l’égyptienne »
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