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Le chef de l’État a nommé, dimanche 10 février, son conseiller spécial à la Présidence Tayeb Belaïz à la tête du Conseil constitutionnel, en remplacement de Mourad Medelci, décédé des suites d’une longue maladie. Un poste stratégique, à la veille de l’élection présidentielle.
On le décrit comme un haut responsable à la fois discret et influent. Allure soignée et adepte des costumes trois pièces de couleur sombre, Tayeb Belaïz était pressenti ces dernières semaines pour occuper diverses fonctions. « À un certain moment, on pensait même qu’il avait été choisi pour suppléer à la candidature de Bouteflika. Sa garde rapprochée a été changée d’une escorte de policiers à une escorte de la garde républicaine », témoigne un chef de parti de l’opposition.
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