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Cette analyse des données de l’étude Fragile Families and Child Wellbeing (FFCW) indiquent que les bébés qui ressemblent à leur père à la naissance sont en meilleure santé un an plus tard, en raison d’un investissement plus important du père. Cet engagement peut faire la différence et jusqu’à 10% du score de santé globale de l’enfant.
Les pères sont « importants » pour le développement de l’enfant et cela se manifeste aussi dans la santé explique l’auteur principal, Solomon Polachek, professeur émérite en économie. Son étude a porté sur les données de 715 familles dans lesquelles les bébés vivaient uniquement avec leur mère. Les données des deux premières vagues de l’étude indiquaient que les bébés qui ressemblaient à leur père à la naissance étaient en meilleure santé un an plus tard, suggérant que la ressemblance père-enfant incite le père à passer plus de temps à s’engager dans une parentalité positive.
La ressemblance de l’enfant avec le père, c’est 2,5 jours de plus par mois de présence du père : « Les pères qui perçoivent la ressemblance de leur bébé sont plus sûrs de leur paternité et passent ainsi plus de temps avec le bébé. Et alors nous constatons une amélioration des indicateurs de santé de l’enfant, écrivent les auteurs : « Les visites plus fréquentes des pères sont associées à plus de temps consacré aux soins et à la surveillance des besoins des enfants”.
Des interventions pour encourager les pères ne vivant pas au domicile de l’enfant à s’engager dans une parentalité positive devraient être développées. Cela passe par leur formation à la parentalité, une éducation à la santé mais aussi par la formation professionnelle qui peut permettre d’améliorer leurs revenus et donc le soutien financier que ces pères peuvent également apporter à l’éducation de l’enfant.
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