Sam Gyimah, ancien ministre de Theresa May, rejoint le parti libéral démocrate

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Fervent partisan d’un nouveau référendum sur le Brexit, Sam Gyimah était très critique de Boris Johnson, qui menace de quitter l’UE le 31 octobre avec ou sans accord.

Le Monde avec AFP Publié aujourd’hui à 22h46

Temps de Lecture 1 min.

« Boris Johnson offre un dur choix aux députés modérés et progressistes du parti conservateur : accepter un Brexit sans accord ou quitter la vie publique », a déclaré M. Gyimah
« Boris Johnson offre un dur choix aux députés modérés et progressistes du parti conservateur : accepter un Brexit sans accord ou quitter la vie publique », a déclaré M. Gyimah Henry Nicholls / REUTERS

Nouveau camouflet pour Boris Johnson. Sam Gyimah, ancien ministre des universités du gouvernement de Theresa May, a rejoint le parti libéral démocrate à l’occasion de sa conférence annuelle à Bournemouth, sur la côte du sud de l’Angleterre.

Le premier ministre britannique conservateur « Boris Johnson offre un dur choix aux députés modérés et progressistes du parti conservateur : accepter un Brexit sans accord ou quitter la vie publique », a déclaré M. Gyimah. « Je choisis de continuer à me battre pour les valeurs auxquelles j’ai toujours cru, en tant que libéral démocrate », a-t-il affirmé.

Sixième député conservateur passé chez les libéraux démocrates

Sa défection intervient quelques jours après celle du député conservateur Phillip Lee, qui avait fait perdre à Boris Johnson sa majorité absolue au parlement. Sam Gyimah est le sixième député à rejoindre cette année le parti libéral démocrate, qui compte désormais 18 sièges aux Communes, sur 650. « Il est clair que les libéraux démocrates sont le point de rassemblement de ceux qui veulent rester dans l’UE », a réagi la dirigeante du parti Jo Swinson.

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M. Gyimah avait démissionné l’an dernier du gouvernement de Theresa May en raison de désaccords avec sa stratégie pour sortir la Grande-Bretagne de l’Union européenne. Fervent partisan d’un nouveau référendum sur le Brexit, il était très critique de Boris Johnson, qui menace de quitter l’UE le 31 octobre avec ou sans accord sur les conditions de sortie.

L’ex-ministre de 43 ans, un temps considéré comme une étoile de montante de son parti, s’était brièvement présenté contre M. Johnson en juin pour prendre la tête du parti.

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