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Au cours de ses 14 allocutions prononcées entre le 9 avril et le 23 mai 2019, le chef d’état-major de l’armée algérienne n’a notamment jamais employé le terme « démocratie », tandis qu’il a évoqué l’« armée » et le « peuple » à respectivement 89 et 68 reprises.
«La grande muette » ? L’armée algérienne n’aime pas ce surnom. En 2012, le ministère de la Défense demandait aux médias d’y renoncer et de s’en tenir à « Armée nationale populaire » (ou ANP). Peine perdue. Sept ans plus tard, les journaux algériens notent que « la grande muette » n’a jamais été aussi bavarde que depuis la démission d’Abdelaziz Bouteflika, le 2 avril. Quatorze prises de parole pour le chef d’état-major Ahmed Gaïd Salah entre le 9 avril et le 23 mai… contre trois pour le président intérimaire, Abdelkader Bensalah.
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