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Après avoir soutenu Martin Fayulu, candidat malheureux à la dernière présidentielle, l’ex-gouverneur du Katanga va devoir choisir : ménager le nouveau chef de l’État, Félix Tshisekedi, ou s’opposer à lui.
La phrase n’est pas passée inaperçue. C’était fin décembre 2018, lors de la dernière interview que Joseph Kabila accordait en tant que président de la République. Interrogé par Jeune Afrique sur l’état de ses relations avec Moïse Katumbi, Kabila répondait en le comparant à « Judas Iscariote ».
La rupture entre les deux hommes date de 2015, mais la haine que l’ancien chef de l’État voue à celui qui fut son allié semble inextinguible. Et l’expression employée fait encore cogiter dans l’entourage de l’ancien gouverneur du Katanga. « Il faut bien comprendre ce qu’il a voulu dire, tente de décrypter un de ses conseillers. Kabila se prend pour Jésus-Christ ! Après sa mort politique, il croit pouvoir ressusciter. Judas, lui, s’est pendu. C’est ce destin qu’il croit pouvoir imposer à Katumbi ! »
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