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Le 7 février 2018, alors que la justice gabonaise tardait à faire la lumière sur le présumé réseau de corruption de Guido Santullo et sur le rôle de l’ancien ministre Magloire Ngambia, Libreville a déposé plainte en Suisse contre l’Italien pour corruption d’agents publics étrangers et blanchiment d’argent.
« Ali Bongo Ondimba a compris qu’il aurait du mal à obtenir justice au Gabon dans cette affaire, parce que le réseau Santullo était très étendu. C’est pour cela qu’il a choisi de déposer plainte en Suisse et de demander l’entraide judiciaire de la France. En envoyant le dossier à l’étranger, il s’assure que la justice fera son travail. » À entendre les confidences faites à JA par un proche de l’enquête, la multiplication des terrains d’affrontement judiciaire entre le groupement Santullo et l’État gabonais ne tient aucunement du hasard.
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