quand le Gabon recourt à la justice helvétique – JeuneAfrique.com

0
245

[ad_1]


Pour porter l’affaire au pénal, Ali Bongo Ondimba a notamment contacté le Français Patrick Klugman, du cabinet d’avocats GKA. © David Niviere/SIPA


Le 7 février 2018, alors que la justice gabonaise tardait à faire la lumière sur le présumé réseau de corruption de Guido Santullo et sur le rôle de l’ancien ministre Magloire Ngambia, Libreville a déposé plainte en Suisse contre l’Italien pour corruption d’agents publics étrangers et blanchiment d’argent.


« Ali Bongo Ondimba a compris qu’il aurait du mal à obtenir justice au Gabon dans cette affaire, parce que le réseau Santullo était très étendu. C’est pour cela qu’il a choisi de déposer plainte en Suisse et de demander l’entraide judiciaire de la France. En envoyant le dossier à l’étranger, il s’assure que la justice fera son travail. » À entendre les confidences faites à JA par un proche de l’enquête, la multiplication des terrains d’affrontement judiciaire entre le groupement Santullo et l’État gabonais ne tient aucunement du hasard.

Vous êtes à présent connecté(e) à votre compte Jeune Afrique, mais vous n’êtes pas abonné(e) à Jeune Afrique Digital

Cet article est réservé aux abonnés


Abonnez-vous à partir de 7,99€pour accéder à tous les articles en illimité

Déjà abonné ?

Besoin d’aide

Vos avantages abonné

  1. 1. Accèdez en illimité à l’ensemble des articles sur le site et l’application Jeuneafrique.com (iOs & Android)
  2. 2. Bénéficiez en avant première, 24 heures avant leur parution, de chaque numéro et hors séries Jeune Afrique sur l’application Jeune Afrique Le Magazine (iOS & Android)
  3. 3. Recevez la newsletter économie quotidienne réservée aux abonnés
  4. 4. Profitez de 2 ans d’archives de Jeune Afrique en édition numérique
  5. 5. Abonnement sans engagement de durée avec l’offre mensuelle tacitement renouvelable*

*Service uniquement disponible pour les abonnements à durée libre.






[ad_2]

Source link

JeuneAfrique

Have something to say? Leave a comment: