Propagande au caveau du Père Laval , les excuses au Diocèse en neuvième titre du JT

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(De g. à dr.) Anooj Ramsurrun, directeur par intérim de la MBC, le père Gérard Mongelard, du diocèse de Port-Louis, et Beejhaye Ramdenee, Chairman de la corporation.

(De g. à dr.) Anooj Ramsurrun, directeur par intérim de la MBC, le père Gérard Mongelard,
du diocèse de Port-Louis, et Beejhaye Ramdenee, Chairman de la corporation.

C’est au siège de la station de radiotélévision nationale (MBC), à Moka, que Bheejaye Ramdenee et Anooj Ramsurrun, respectivement président et directeur général par intérim, ont reçu le père Gérard Mongelard, hier après-midi. Une invitation que des internautes de lexpress.mu qualifient de «mari toupé». Estimant qu’il revenait aux «fautifs» de se déplacer vers le porte-parole du Diocèse de Port-Louis et pas l’inverse.

À la question de savoir s’il ne revenait pas aux responsables de la MBC de venir à lui, le père Gérard Mongelard, porte-parole du Diocèse de Port-Louis en l’absence de Jean-Maurice Labour, qui est souffrant, a déclaré : «C’est notre mission d’aller vers les autres. J’ai accepté de m’y déplacer pour m’assurer que de tels faux pas ne soient pas commis à l’avenir. Et, en même temps en profiter pour aller à la rencontre du personnel, dont certains que je connais.» Il a accepté la lettre et le excuses de la MBC et a confié que la direction de la station de Moka lui a expliqué qu’elle avait pris des mesures contre le journaliste «qui a commis un acte bien grave».

Cette rencontre qui a duré une demi-heure, dont une quinzaine avec des membres de la presse qui étaient présents, a été diffusée vers la fin du journal télévisé de 19 h 30 hier, à 19 h 48, en neuvième titre. Sans compter que cet item, qui n’a duré que 3 m 52, ne figurait même pas au sommaire des grands titres, contrairement au «battage médiatique» du 25 février, jour du jugement du Privy Council dans l’affaire MedPoint.

Le directeur général par intérim de la MBC a déclaré au micro de la presse présente que le journaliste Azaghen Runghen avait subi la plus grande des punitions, celle de l’opprobre publique. «Il a été crucifié. Le public l’a puni, lapidé», a indiqué Anooj Ramsurrun. Le journaliste en question avait, sans permission, tendu son micro à une membre du public, dans le caveau du père Laval, pour lui demander ce qu’elle pensait de la victoire de Pravind Jugnauth dans l’affaire MedPoint

Selon Anooj Ramsurrun, «ce journaliste ne pourra plus faire ce genre de reportage. (…) il a subi la plus grande des punitions, nous ne pourrons pas aller au-delà». Avant de s’étendre sur le pardon et la nécessité de tourner la page.


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Lexpress

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