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Ouvert le jeudi 25 juin, le vote pour la réforme constitutionnelle russe voulue par le président Vladimir Poutine se clôt ce mercredi 1er juillet. En pleine épidémie, les Russes étaient appelés aux urnes pour entériner le projet lancé par le chef de l’Etat, le 15 janvier, au nom des « changements » réclamés, selon lui, par le peuple russe.
Mais la mesure la plus importante concerne pourtant son cas personnel car elle permet à l’actuel président, au pouvoir depuis 2000, d’y rester après 2024, ce qui lui était théoriquement interdit.
En s’autorisant à solliciter deux nouveaux mandats, le président russe renie-t-il ses promesses ? Sortira-t-il renforcé ou affaibli de ce scrutin ? Comment cela est-il perçu au sein de la société russe ?
Benoît Vitkine, correspondant du Monde a Moscou, répond à vos questions à partir de 11 heures.
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