Pourquoi une vue sur un meurtre était le lien le moins préféré de Roger Moore

A View To A Kill était la septième et dernière aventure de James Bond de Roger Moore, mais voici pourquoi c’était le moins préféré de l’acteur.

Voici pourquoi Roger Moore a aimé sa dernière aventure James Bond Une vue à tuer le moins hors de sa course. Malgré l’immense succès remporté par l’ère Sean Connery de Bond, il y avait de sérieux doutes sur la survie de la série une fois qu’il serait parti. Son successeur George Lazenby a quitté le rôle après une seule sortie, et les producteurs ont payé à Connery une grosse somme pour revenir pour 1971. Les diamants sont éternels. Après que de nombreux acteurs ont été considérés pour Vivre et laisser mourir, y compris Burt Reynolds, Timothy Dalton et Anthony Hopkins, Roger Moore a décroché le rôle.

Moore finirait par jouer le rôle sept fois, ce qui est une course qui reste ininterrompue jusqu’à présent. Son point de vue sur Bond était considérablement plus léger et ironique que celui de Connery, bien qu’il ait affiché des moments occasionnels de sang-froid dans les goûts de Rien que pour vos yeux. La dernière sortie de Moore était de 1985 Une vue à tuer, où il est opposé à l’homme d’affaires maléfique Christopher Walken Max Zorin et à sa main droite May Day (Grace Zones).

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Une vue à tuer est quelque peu apprécié pour les virages délicieusement martelés de Walken et Jones, le thème accrocheur de Duran Duran et la finale impliquant un dirigeable au-dessus du Golden Gate Bridge. Cela dit, c’est l’une des pires sorties de Bond grâce à une histoire terne et à une action généralement peu impliquée, bien que Moore soit toujours divertissant dans le rôle. L’acteur vétéran révélera plus tard lors d’une piste de commentaire pour Une vue à tuer que c’était son moins favori de sa propre course.

Moore attribue en partie cela à être quelque peu usé lors de sa fabrication. Il déclare qu’à peu près au moment où il a fait la sortie Bond de 1983 Poulpe il commençait à être un peu fatigué, car la production des films pouvait être épuisante. Il était également proche de 60 ans lorsqu’il a tiré Une vue à tuer et sentit qu’il était temps de raccrocher son Walter PPK. Roger Moore avoue également avoir été surpris par le niveau élevé de violence dans le film, en particulier dans la scène où Zorin massacre joyeusement un groupe de mineurs avec un Uzi.

Il n’aimait pas l’augmentation de la violence et préférait ce qu’il appelle les aventures de la vieille école de James Bond. Ce n’est pas vraiment une surprise en tant qu’acteur, bien qu’il ait joué dans plus de prix d’action sanguine comme Les oies sauvages, avait un dégoût marqué pour les armes à feu et a déploré plus tard à quel point les films de Bond sont devenus violents après son départ. Même les fans de Roger Moore classerait probablement Une vue à tuer parmi les plus bas de sa course, bien que même dans les obligations de moindre importance, il les a toujours rendues dignes d’être surveillées.

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