pourquoi Libreville frappe à la porte du Commonwealth – Jeune Afrique

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Ali Bongo Ondimba à Addis-Abeba, en janvier 2018

Ali Bongo Ondimba à Addis-Abeba, en janvier 2018 © Tiksa Negeri/REUTERS

Ali Bongo Ondimba a rencontré la secrétaire générale du Commonwealth, la baronne Patricia Scotland et, par la suite, le prince Charles, pour évoquer la signature de la charte du Commonwealth lors du prochain sommet de Kigali initialement prévu en juin, mais reporté à une date ultérieure.


Alors que le Gabon n’a aucun lien historique avec le Royaume-Uni, bien qu’étant membre de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) et l’un des plus proches alliés de la France en Afrique, il a pourtant introduit une demande d’adhésion au Commonwealth, un « club » créée en 1949 regroupant d’anciennes possessions coloniales britanniques. Après le Mozambique en 1995 et le Rwanda en 2009, le Gabon sera le troisième pays non anglophone à l’origine, à rejoindre cette organisation.

Les attentes d’un « tournant historique »

« De quoi diversifier nos partenariats et dynamiser nos perspectives de développement », se réjouit Noureddin Bongo Valentin, coordinateur général des Affaires présidentielles, qui a assisté aux côtés de Lee White, ministre gabonais des Eaux, des Forêts et de la Mer et de l’Environnement – britannique de naissance –, à l’audience accordée par le prince de Galles au président Gabonais.



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JeuneAfrique

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