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Négocier avec le gouvernement de Tripoli ? Le maréchal Haftar n’y a jamais sérieusement songé. Fort du soutien de l’Arabie saoudite, des Émirats, de l’Égypte, de la France et de la Russie, il a finalement décidé de prendre d’assaut la capitale.
«Nous soutenons l’avancée des forces armées de l’armée nationale dans le but de purifier Tripoli et sa région des milices et des groupes terroristes. » Ce 5 avril, les témoignages se succèdent sur l’antenne d’Al-Hadath, la chaîne télévisée libyenne tout acquise à la cause du maréchal Haftar.
Notables, représentants municipaux, simples citoyens… Tous martèlent le même message à l’écran : l’offensive vers le nord-ouest du chef de l’Armée nationale libyenne (ANL) ne serait pas une agression, mais une libération des Tripolitains, tenus en otages par les milices islamistes et les trafiquants en tout genre. Sans succomber à la lassitude, le présentateur, images à l’appui, égrène les villes – Sebha, Tobrouk, Benghazi, Koufra – qui apportent leur soutien à l’opération lancée par Khalifa Haftar la nuit précédente.
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