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L’ancien président sud-africain Kgalema Motlanthe appelle le parti anti-apartheid à se renouveler d’urgence et prévient que « chaque petite malversation ou malfaisance sera punie par les urnes ».
En marge du sommet de la Commission globale de politique en matière de drogue (Global Commission on Drug Policy), réuni mardi 25 juin à Lisbonne pour le lancement de son rapport annuel, Jeune Afrique a rencontré l’ancien président de la République de l’Afrique du Sud et membre du Congrès national africain (ANC), Kgalema Motlanthe. L’occasion de faire le point sur le résultat du scrutin de mai 2019. Plus d’un an après le départ de Jacob Zuma et l’arrivée au pouvoir de Cyril Ramaphosa, les Sud-Africains n’ont renouvelé leur confiance au parti de Nelson Mandela qu’avec 57 % des suffrages, le plus mauvais score jamais réalisé par l’ANC.
Entaché par plusieurs scandales de corruption pendant la présidence de Jacob Zuma, poussé à la démission par son propre parti, l’ANC « doit se renouveler de l’intérieur » et « retrouver les valeurs qui ont fait de lui une organisation politique respectée
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