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100 jours précisément se sont écoulés depuis que les structures en tôle érigées sur les terres de l’État ont été détruites à African Town, à Riambel. Plusieurs familles de squatters dorment depuis à la belle étoile.
Pour marquer ce tournant, le collectif Drwa a enn lakaz – platform sitwayen a organisé une rencontre dans la localité, ce dimanche 6 septembre. « Nou parkor trouv okenn avans dan Riambel… mo espere ki lesoz avanse », a confié le père Gérard Mongelard. Il dit être toujours en attente d’une solution des autorités pour ces familles.
Quant à Delphine Ahnee, la porte-parole du collectif Drwa a enn lakaz – platform sitwayen, elle déplore le manque de communication des autorités vis-à-vis des familles de sans-abri.
« Noun mem tande ki pena plan pou zot », a-t-elle déclaré. Une situation qu’elle qualifie d’inhumaine et de scandaleuse.
Elle affirme ne pas comprendre comment les autorités et le ministre du Logement peuvent faire, dit-elle, la sourde oreille aux revendications des squatters.
Delphine Ahnee explique qu’il y a, parmi ces squatteurs, des personnes ont pleinement droit à une maison et qu’il faut prendre en compte les difficultés (« hardship ») auxquelles certains font face.
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