Personne n’a le monopole de la patrie – JeuneAfrique.com

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Frida Dahmani est correspondante en Tunisie de Jeune Afrique.


Au lancement du nouveau parti Tahya Tounes (Vive la Tunisie), le 27 janvier à Monastir, avec notamment Slim Azzabi au pupitre. © Nicolas Fauqué pour JA


En ces temps de pénurie en Tunisie, il est un domaine qui ne connaît pas la crise : la création partisane dans la perspective des législatives et de la présidentielle de la fin d’année.


Avec le lancement, le 27 janvier, de Tahya Tounes (« vive la Tunisie »), nom de la nouvelle formation qui soutient le chef du gouvernement, Youssef Chahed, le pays compte officiellement 218 partis.

Derrière le nouveau label, on retrouve des transfuges de diverses formations dites modernistes, qui ont effectué un tour de chauffe sur les bancs de l’Assemblée au sein du bloc de la Coalition nationale.

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