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Le Centre Nelson Mandela, en collaboration avec l’ONG « DIS MOI », a mis en place une séance d’échange, qui avait pour titre « l’histoire méconnue de Constance Couronne ». Constance Couronne était l’une des plus jeunes condamnées à la peau noire à être déportée en Australie depuis Maurice. Une de ses descendantes australiennes et un probable descendant mauricien de Constance Couronne se sont rencontrés lors de cet événement à Point aux Sables.
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The big hotel groups sit on a $7 billion cash pile. How they use it, whether it’s to acquire properties, improve their offerings, or buy back stocks, will shape their futures.
Global hotel groups are awash in near-record amounts of cash. Seven of the best-known hotel groups were collectively sitting on about $7.3 billion in cash and short-term investments in June, according to a recent wave of financial filings.
How these hotel giants — Accor, Choice, Hilton, Hyatt, IHG (InterContinental Hotels Group), Marriott, and Wyndham — deploy their cash will be of great interest. Stakeholders hoping for some of that cash include property owners looking to sell hotel assets, workers looking for raises, executives hoping for corporate investment in their products, and shareholders hoping that companies repurchase shares to boost stock prices.
Take Marriott International, for example. At the end of last year, it had $1.39 billion in cash and short-term investments, partly as a hangover from building up a cash cushion during the uncertainty of the pandemic. By June 30, it had reduced its cash pile to $546 million.
“Given our outlook for further global recovery and our powerful business model that is generating significant cash beyond our investment needs, we expect to return more than $2.2 billion to shareholders this year,” said Kathleen Oberg, chief financial officer of Marriott International, during an earnings call earlier this month.
Major hotel companies are following varied playbooks. Most signaled plans to draw down their cash hordes one way or another. Rising interest rates are eating away at the value of cash, discouraging companies from holding onto it.
Hyatt had $1.955 billion in cash, cash equivalents, and short-term investments as of June 30. It plans to pay down a portion or all of the short-term debt it issued in late 2021 while also buying back some stock.
Hyatt is looking to use some of its cash to buy hotels. Earlier this month, it bought Hotel Irvine in California, an independent 541-room hotel, for $135 million.
The Hotel Irvine purchase helped Hyatt secure its brand presence in a popular destination where it has been underrepresented. Hyatt made an all-cash offer, something that private equity competitors couldn’t as easily due given current market gyrations, said Mark Hoplamazian, president and CEO, during an earnings call.
Wyndham Hotels and Resorts had $400 million in cash and liquid assets, at the end of the second quarter.
“Our first priority, as always, is to invest in the business, said Michele Allen, chief financial officer. “We are actively exploring both external and organic growth opportunities.”
Wyndham also delivered about $240 million in buybacks and dividends, represents about 3 percent of its market capitalization, in the first half.
Hilton had $1.175 billion in cash and liquid investments as of June 30. It planned to give shareholders between $1.5 billion and $1.9 billion via buybacks and dividends.
Investors like when companies buy back stock because it reduces the shares outstanding, typically pushing up the earnings generated per share and often boosting a stock’s price. Stock buybacks are popular in many corporate offices because hotel executive compensation is typically designed to encourage it by rewarding top leaders if stock performance measures such as earnings per share rise.
Some analysts worry that CEOs may do stock buybacks too much when they are incentivized to boost earnings per share as a way to boost their compensation. Yet others point out that the incentives can discourage CEOs from making poorly thought-through mergers and acquisitions simply because they have the cash to spend.
A new wrinkle in the U.S. is just-passed legislation that will charge businesses a 1 percent excise tax on the fair value of the stock they buy back. It’s unclear what effect that will have on the buyback practice.
At the end of June, Accor had about $1.294 billion (€1.298 billion) in cash and short-term equivalents. In the second quarter, it used nearly $200 million (€200 million) in cash to pay for corporate restructuring and to invest in Reef, a ghost kitchen company.
Choice Hotels had $607 million in cash and short-term equivalents on June 30. In the first half of the year, it returned about $42 million to shareholders in cash dividends and repurchases of its stock. The company plans future share repurchases. It also expects to pay $53 million in dividends this year, more than double the level of last year.
IHG had $1.36 billion in cash and liquid assets. It announced this month a plan to buy back a half billion dollars worth of its stock by year-end.
Jin Jiang is a Shanghai-based conglomerate that is one of the world’s largest operators and managers of hotels in China and elsewhere, though it also has other business, such as restaurants and cruise lines. The company hasn’t reported earnings for a comparable period to the other global giants mentioned here. But it had $811 million in cash and short-term equivalents in late March.
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Solide performance dans tous les secteurs d’activité à Maurice et en Afrique de l’Est pour le groupe MUA pour le semestre se terminant au 30 juin. Les opérations kényanes sont sur la voie de la stabilisation. Les primes brutes du groupe augmentent de 18% à Rs 3,7 milliards, contre Rs 3,1 milliards pour la même période en 2021. En revanche, le bénéfice après impôts atteint Rs…
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Lancement du livret « The Worker’s Guide on the Mauritian Employment Law » à la Municipalité de Port-Louis. L’initiative est signée le Mauritius Trade Union Congress, en collaboration avec ses différentes filiales. Rédigé par le Professeur Rajendra Parsad Gunputh, l’objectif est de simplifier les lois, et de les rendre plus accessibles à tous. Plusieurs personnalités, dont le président de la République, Prithvirajsing Roopun, ont fait le déplacement pour l’occasion
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MurvindBeetun reçoit Raj Ramlugun et Raj Jagurnath dans Zoom Extra Pourquoi le fonds de pension des employés d’Air …
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En cette journée ensoleillée, vous vous apprêtiez à passer à table dans le jardin… jusqu’à ce que votre voisin vienne se plaindre de l’odeur incommodante de vos brochettes et de la fumée. Est-il dans son droit ?
Un peu de bon sens et de savoir-vivre
Légalement, il n’existe pas de restrictions concernant l’utilisation d’un barbecue. Si vous vous en servez occasionnellement, rien ne vous interdit de faire des grillades dans votre jardin, sur votre terrasse ou même sur votre balcon : le tout est de le faire avec modération.
Néanmoins, dans une copropriété ou un lotissement, il peut exister un règlement réduisant ou interdisant l’usage du barbecue. Pensez à le vérifier avant de faire chauffer les braises ! De la même façon, des arrêtés municipaux ou préfectoraux peuvent, pour des raisons de sécurité, en interdire l’usage en période de sécheresse ou bien proscrire les barbecues à charbon de bois tout en maintenant l’autorisation des barbecues à gaz ou à l’électricité. Ces arrêtés sont consultables en mairie.
A savoir : un barbecue « en dur » (fabriqué en pierre, brique ou parpaing) dont la surface au sol dépasse 5 mètres carrés nécessite de déposer un permis de construire ou une déclaration préalable de travaux à la mairie.
Vous avez dit « trouble anormal » ?
Au-delà de ces règles basiques, un riverain peut considérer qu’un barbecue cause ce que l’on appelle « un trouble anormal du voisinage ». Pour engager une action, il lui faut alors prouver les nuisances et les dommages subis (noircissement d’une façade, projection de cendres… ). Un trouble anormal du voisinage s’apprécie selon différents critères : 〉 sa fréquence et sa durée ; 〉 le moment de la journée ; 〉 son intensité (un gril mal utilisé peut provoquer un grand dégagement de fumée et d’odeurs) ; 〉 son emplacement (attention au barbecue installé à proximité immédiate du mur des voisins !) – le respect de la réglementation : la période d’interdiction préfectorale, par exemple.
Si, au regard de ces critères, le trouble anormal du voisinage est avéré, il reste préférable de parler avec le voisin pour trouver un terrain d’entente. Déplacer l’appareil de quelques mètres suffit parfois. Si vous habitez dans une copropriété, le syndic peut intervenir. L’étape suivante consistera à envoyer au voisin « enfumeur » un courrier en recommandé avec mise en demeure. Mieux vaut alors réagir rapidement pour ne pas voir intervenir un conciliateur de justice ou, pire, s’engager dans une action en justice longue et coûteuse. Un conflit de voisinage peut en effet se terminer au tribunal pour réclamer des dommages et intérêts. Des preuves sont toutefois nécessaires pour le plaignant, constat d’huissier à l’appui. Un arrangement à l’amiable reste toujours préférable pour ne pas en arriver là.
Quelques consignes de sécurité
– Placer le barbecue dans un espace dégagé (au moins 1,5 mètre autour), stable, abrité du vent, éloigné des végétaux secs et du mur mitoyen.
– Ne jamais le laisser sans surveillance, notamment en présence de jeunes enfants.
– Ne pas utiliser d’essence ou d’alcool à brûler pour l’allumer ou le raviver.
– Garder toujours un moyen d’extinction à proximité : extincteur, point d’eau
Et aussi les questions pratiques
Pourquoi les représentants du personnel ont-ils un statut protecteur ?
Les délégués syndicaux, représentants syndicaux au CSE et membres élus à la délégation du CSE sont, par leur fonction de représentation, plus engagés et donc plus exposés que les autres salariés. Le Code du travail prévoit donc pour eux un statut protecteur, en particulier en matière de licenciement.
Pour licencier un représentant, l’employeur doit requérir l’autorisation préalable de l’inspecteur du travail dont dépend son établissement.
Celui-ci procède à une enquête contradictoire afin de s’assurer que ce licenciement est sans lien avec le mandat du salarié ou ne constitue pas une mesure de représailles. S’il donne son accord, le salarié a deux mois pour former un recours devant le ministre chargé du Travail ou le tribunal administratif.
Comment contester une amende pour une infraction relevée par radar automatique ?
Pour contester un avis d’amende forfaitaire établi suite à une infraction relevée par le système de contrôle automatisé, deux options : sur le site de l’Aetna (Agence Nationale de Traitement Automatisé des Délinquances), ou en adressant le formulaire joint à l’avis par lettre recommandée avec accusé de réception à un officier du Parquet près le Service de Contrôle Automatique. Vous avez 45 jours pour un avis d’amende forfaitaire, trois mois pour un avis majoré. Pour que votre contestation soit considérée comme recevable, vous devez déposer une somme égale au montant de l’astreinte conformément à la procédure d’astreinte prescrite.
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Le Premier ministre et leader du Mouvement Socialiste Militant (MSM), Pravind Jugnauth, entame une offensive politique contre l’ancien Chief Executive Officer de Mauritius Telecom, Sherry Singh. Lors de son intervention au congrès du MSM, hier, à Nouvelle-France, il a interpellé son ancien bras droit sur les affaires de la compagnie Richmont Capital Ltd. Celle-ci, incorporée en 2009,…
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