[ad_1]
Qu’il s’agisse du manque de frayeurs dans Dead Man’s Chest ou du manque d’enjeux dans On Stranger Tides, chaque suite de Pirates des Caraïbes avait un problème.
Non pirates des Caraïbes épisode a repris le plaisir de la roue libre du film original, 2003 la malédiction de la perle noire, mais qu’est-ce que chaque sortie de franchise suivante a eu si mal? Il est plus que compréhensible que les initiés de l’industrie ne s’attendaient pas à l’original pirates des Caraïbes film, la malédiction de la perle noire, pour réussir au box-office lors de la sortie du film en 2003. Cependant, l’échec des suites du film avec les critiques (malgré le succès financier de la franchise) est plus difficile à comprendre.
Malgré la vantardise le Seigneur des Anneaux star Orlando Bloom comme son héros ostensible Will Turner, l’original pirates des Caraïbes avait de nombreux signes avant-coureurs d’un flop imminent. D’une part, de nombreuses stars, telles que Kiera Knightley et Geoffrey Rush, avaient peu d’expérience en tête d’affiche de films à succès dans des rôles principaux. Pendant ce temps, le réalisateur du film Gore Verbinski était surtout connu pour son horreur austère alors récente. L’anneau, ce qui était loin d’être amusant, et le sous-genre d’action swashbuckling dans son ensemble était impopulaire au box-office depuis l’échec historique du tristement célèbre flop de Renny Harlin Île fardée seulement huit ans plus tôt.
Cliquez sur le bouton ci-dessous pour démarrer cet article en vue rapide.
Malgré ces obstacles apparents, la malédiction de la perle noire Il s’est vite avéré être la bête la plus rare – un grand blockbuster d’été amusant qui a séduit les critiques autant qu’il a impressionné le grand public. Merci à l’étoile d’évasion Jack Sparrow de Johnny Depp, les pirates des Caraïbes la franchise est devenue du jour au lendemain l’une des propriétés les plus populaires du cinéma. Cependant, malgré le retour de Depp pour les quatre suites et la présence de Bloom et Knightley (ainsi que du barreur Verbinski) dans les deux premiers, aucun des derniers films de la franchise n’a pu retrouver le succès du premier film. le pirates des Caraïbes la série reste un succès phénoménal en termes financiers, mais en termes d’évaluation critique et par les fans, le consensus est qu’aucune des la malédiction de la perle noireLes quatre suites ont réussi à atteindre les hauteurs du premier film. Avec la franchise pour continuer encore plus loin via Le prochain de Margot Robbie pirates des Caraïbes redémarrer, le moment est plus propice que jamais pour interroger ce qui n’a pas fonctionné avec chacune des suites de la série.
La poitrine du mort n’est pas assez effrayante
La première pirates des Caraïbes suite fait partie des offres les plus populaires de la franchise. Malgré un complot trop compliqué, les années 2006 Coffre du mort n’a pas souffert des critiques brutales qui ont été faites sur les films ultérieurs de la série. Cependant, alors que la suite comporte beaucoup d’action de dessin animé rapide et inventive, les poursuites loufoques et Looney Tunes-les slapstick inspirés n’ont pas l’urgence et l’impact du premier film. Cela est dû à une pénurie de méchants véritablement menaçants et effrayants. Il est indéniable que le visqueux, semi-humain méchant Davy Jones et son équipage de camarades de bord à moitié corail est dégoûtant.
Cependant, le groupe est loin d’être effrayant et ne peut pas tenir une bougie aux pirates zombies troublants du premier film. Ce problème est aggravé par l’éclairage du film, qui rend les méchants encore moins menaçants. Il est indéniablement impressionnant que Coffre du mort se vantait d’un budget suffisamment important pour organiser sa bataille finale lourde en CGI en plein jour, mais malheureusement, les méchants sont encore moins effrayants sans aucune ombre ne les obscurcissant (même s’ils semblent crédibles, ce que l’éclairage a probablement été choisi pour accentuer). En conséquence, une grande partie du potentiel de peur et de tension croissante est minée par l’histoire.
Au bout du monde est trop tragique
Au moment où la fin trop longue de Finale de Gore Verbinski pirates des Caraïbes La sortie se déroule, Will Turner a sacrifié dix ans de sa vie pour libérer l’âme de son père, le laissant séparé avec Elizabeth pendant une décennie après deux films de romance. Davy Jones et Tia Dalma se révèlent être des amants croisés et leur histoire se termine dans le chagrin, et Jack se retrouve à nouveau seul, ses brèves alliances avec de nombreuses parties détruites. Chacune de ces touches tragiques à elle seule aurait suffi à donner un air pathétique au film autrement amusant. Cependant, l’ajout de tous ces moments tristes ensemble a laissé le ton de la troisième séquence extrêmement sombre pour un blockbuster estival théoriquement amusant. Comme toute franchise, la série a besoin d’une certaine profondeur émotionnelle dans ses intrigues, mais laisser la plupart des personnages principaux morts ou dévastés était un pont trop loin pour un pirates des Caraïbes suite que de nombreux téléspectateurs s’attendaient à être une aventure palpitante en haute mer.
On Stranger Tides est trop idiot
Redémarrage en douceur de 2011 Sur Stranger Tides souffert du problème inverse de À la fin du monde, abandonnant Elizabeth et Will mais les remplaçant par personne qui vaille la peine d’être regardé. Aucun des enjeux émotionnels de cette histoire centrée sur Jack Sparrow, car le public sait que le héros n’a jamais été en danger réel. La vie de Jack n’est jamais sérieusement menacée grâce à son esprit vif et à sa ruse (il survit même en mourant dans la trilogie originale). Ce n’est pas nécessairement un problème en soi, mais avec peu de temps à l’écran passé à développer les nouveaux personnages du film, il n’y avait aucune raison de se soucier d’eux ou de s’inquiéter de leur survie. Par conséquent, Sur Stranger Tides n’avait pas de drame convaincant pour animer son histoire et a fini par être trop idiot pour être engageant. Ce problème a été exacerbé par le fait que les méchants n’étaient jamais particulièrement menaçants – en particulier lorsque les téléspectateurs découvrent que l’intérêt amoureux apparent de Jack est la fille secrète de son supposé ennemi.
Les hommes morts ne racontent pas d’histoires essayées trop durement
Le capitaine Salazar de Javier Bardem est le méchant le plus exagéré de la pirates des Caraïbes série jusqu’à présent dans Les hommes mort ne racontent pas d’histoires, et bien que cela aurait pu fonctionner s’il était le seul élément «plus grand est mieux» de la suite, cela devient un problème lorsque le film essaie de faire trop de tout. La révélation que le seul nouveau personnage à noter, Carina, est en fait la fille de Barbossa est à la fois trop évidente et un trou dans l’intrigue qui ne s’additionne pas mathématiquement, et l’inclusion (littéralement) de dernière minute de Will et Elizabeth empeste le service des fans. Avec des méchants plus stupides, plus de trame de fond, un lien avec la trilogie originale et un crochet de suite, le rembourré Les hommes mort ne racontent pas d’histoires a essayé d’être tout pour tout le monde et n’a pas réussi à trouver le charme facile du film original en conséquence. Malgré les machinations alambiquées de son chef, le pirates des Caraïbes se nourrit de simplicité, ce que ce film a mal compris.
[ad_2]
Source link
Have something to say? Leave a comment: