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Reprochant aux pro-Gbagbo leur rapprochement avec le PDCI de Henri Konan Bédié, Pascal Affi N’Guessan et ses proches ont décidé de suspendre leur participation aux discussions pour la réunification du Front populaire ivoirien.
Malgré les gestes ou déclarations de bonnes intentions, nul ne l’ignorait : le processus de réunification au sein du Front populaire ivoirien (FPI) reste plombé par la défiance persistante entre des « camarades » brouillés depuis des années. Le 8 juin, les tensions entre la faction de Pascal Affi N’Guessan et celle fidèle à Laurent Gbagbo ont, à nouveau, éclaté au grand jour.
Dans un communiqué, la première a annoncé qu’elle suspendait sa participation aux travaux sur l’unité du parti. Un coup d’arrêt à des discussions qui, entamées en janvier et freinées par l’épidémie de Coronavirus, n’avaient jusque-là abouti à aucune mesure probante.
La cause de la colère du camp Affi N’Guessan ? L’accord passé quelques jours plus tôt par les pro-Gbagbo avec le Parti démocratique de Côte d’Ivoire – Rassemblement démocratique africain (PDCI-RDA) de Henri Konan Bédié, dans lequel ils appellent leurs militants respectifs à collaborer pour préparer la présidentielle, et ses conséquences pour le FPI en cours de réunification.
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