[ad_1]
Les maîtres d’école administrent leur établissement et gèrent des exercices, tel que l’admission en Grade 1, qui a lieu aujourd’hui.
56 Officers in Charge ont officiellement porté plainte le lundi 6 janvier contre la Public Service Commission (PSC) devant le Public Bodies Appeal Tribunal (PBAT). Ces personnes, dont la majorité sont des Deputy Head Masters ayant assuré l’intérim au poste de chef d’établissement, protestent contre la nomination de 154 nouveaux maîtres d’école.
Les plaignants avaient 21 jours, à partir de la nomination, à la mi-décembre, pour étoffer et déposer leurs dossiers d’appel. 47 parmi eux se sont regroupés pour déposer des plaintes communes, avec le soutien de la Government Teachers Union (GTU), en compagnie de leur avocat, Me Athon Murday, alors que les neuf autres ont choisi de contester les nominations de façon individuelle.
Selon le président de la GTU, Vinod Seegum, les dossiers auraient dû être déposés dès le 3 janvier mais le PBAT les a renvoyés pour «vice de procédure», certains formulaires n’ayant pas encore été remplis par les contestataires. Ils attendent désormais à ce qu’une date soit fixée pour se rendre à nouveau au tribunal d’appel.
Contacté par l’express, un officier de la PSC s’est refusé à tout commentaire.
Mode de sélection
Pour rappel, le 16 décembre, la liste des 154 nouveaux maîtres d’école, dont les entrevues avaient été faites par la PSC plus de deux mois auparavant, a été rendue publique. Dès lors, les adjoints aux maîtres d’école, surtout ceux qui assuraient l’intérim au poste de chef d’établissement, sont montés au créneau car ils n’ont pas été sélectionnés par la PSC. Ils s’attendaient à ce que leurs compétences et expérience soient prises en compte lors de l’exercice de sélection.
La GTU recommande au gouvernement de revenir sur le mode de sélection pour le poste de maître d’école, en se basant sur le critère de l’ancienneté, comme c’était le cas auparavant.
[ad_2]
Source link