MRA : Il déplore des injustices concernant un permis

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Rajendra B. et son épouse sont les gérants d’une boutique à morcellement St-Antoine. Il explique avoir fait plusieurs demandes pour obtenir le permis qui autorise la vente d’alcool. Toutefois, il s’est vu refuser le permis à plusieurs reprises. « J’ai fait des demandes pour ce permis à plusieurs reprises depuis 2015. Dans la lettre qui m’est parvenue depuis la Mauritius Revenue Authority (MRA), il est inscrit que le permis ne pourrait pas m’être octroyé parce que ma boutique est située à proximité d’un lieu de culte et de l’école primaire de la région. Or, mon enseigne se trouve à 400 mètres du lieu de culte et à une distance raisonnable de l’école primaire Doorgachand-Hurry », explique le plaignant. 

Rajendra explique qu’il y a quelque temps, deux supermarchés ont ouvert leurs portes dans la région. Ce qui est le plus révoltant, selon lui, c’est le fait que les supermarchés ont obtenu leur permis alors qu’ils se situent  plus près des lieux indiqués dans la lettre qu’il a reçue de la MRA. 

« Comment se fait-il que mes demandes ont été rejetées à multiples reprises alors que ces grosses enseignes connues, situées à quelques mètres seulement du lieu de culte et de l’école primaire, ont obtenu leur permis sans aucun problème ? Y a-t-il deux types de lois: une pour les grands commerçants et une autre pour les petits ? », se demande Rajendra dépité.

Selon un préposé de la MRA, lorsqu’une demande est rejetée, elle peut être reconsidérée. Il explique que les réponses envoyées dans une lettre ont été étudiées grâce aux enquêtes sur le terrain par les officiers. Plusieurs facteurs sont pris en considération, dont les lieux de cultes et les établissements scolaires. Toutefois une demande peut être reconsidérée s’il y a eu des changements dans l’environnement du demandeur. Un rendez-vous sera fixé pour que le cas de Rajendra soit à nouveau étudié.

 

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Defi Media