Mohammed Kacimi, au-delà du cadre – JeuneAfrique.com

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Sans titre, où apparaissent les couleurs fétiches de l’artiste : bleu, noir, ocre. © atelier de l’artiste


À Marseille, une exposition sur les dix dernières années de la vie du peintre marocain Mohammed Kacimi salue son rôle pionnier et son extrême liberté.


Bleu, noir, ocres. Dans la superbe lumière de la salle du fort Saint-Jean, les couleurs chéries par le peintre marocain Mohammed Kacimi (1942-2003) s’offrent dans leur pureté brute, comme extraites du paysage qui se donne à voir à l’extérieur, où le regard étreint à la fois la pierre chaude de Marseille et l’outremer méditerranéen. Jusqu’au 3 mars, le Mucem accueille ici l’exposition « Kacimi, 1993-2003, une transition africaine », consacrée aux dernières années de l’artiste. Ni cimaises, ni murs, ni ruptures de perspectives : les œuvres choisies par la commissaire Nadine Descendre s’offrent d’un seul tenant dans la salle. À chacun de décider de son parcours, selon l’humeur ou l’envie.

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