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En plein soulèvement en Algérie, l’historien Mohammed Harbi a coécrit un texte qui a beaucoup circulé dans le pays, dans lequel il appelle notamment à éviter « la confiscation de la souveraineté populaire ».
L’auteur du classique Le FLN, mirage et réalité. Des origines à la prise du pouvoir (1945-1962), paru aux Éditions Jeune Afrique en 1980, s’est rappelé au bon souvenir des Algériens à l’occasion du soulèvement populaire né en février.
Depuis la région parisienne, où il réside, il a lancé un appel avec le docteur en sciences politiques et auteur franco-algérien Nedjib Sidi Moussa : « Notre tâche prioritaire est de tirer la leçon du soulèvement d’octobre 1988 et d’éviter à nouveau le “détournement du fleuve”, à savoir la confiscation de la souveraineté populaire », écrivent-ils dans un texte qui a beaucoup circulé en Algérie.
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