Mektoub*, mais pas trop – Jeune Afrique

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Des musulmans priant dans une mosquée de Karachi au Pakistan le 5 juin 2016, à la veille du Ramadan.

Des musulmans priant dans une mosquée de Karachi au Pakistan le 5 juin 2016, à la veille du Ramadan. © Shakil Adil/AP/SIPA

Depuis le début de l’épidémie de coronavirus déclarée mi-décembre en Chine, on ne rit plus. Mais cette histoire sur les musulmans et leur rapport à la maladie pourra peut-être vous redonner le sourire.


Lorsque l’épidémie de coronavirus s’est déclarée en Chine, de curieuses cartes ont fleuri sur Facebook montrant ce miracle : dans l’empire du Milieu, les régions habitées par les musulmans étaient épargnées, tandis que la maladie faisait des ravages auprès des adeptes d’autres religions.

D’ailleurs, le virus n’était alors que la manifestation de la colère divine, Allah ayant voulu punir la Chine de s’en être pris aux Ouïgours, ces martyrs de l’islam. Puis il a fallu se rendre à l’évidence : le virus ne faisait de cadeau à aucune religion ni aucune communauté. Les cartes ont donc disparu, et les voix se sont tues.

Mais une autre conviction s’est vite forgée : en pays d’islam, il ne faut rien craindre, on a les moyens de vaincre l’ennemi. L’ordonnance et les remèdes se trouvent consignés depuis quatorze siècles.

L’islam et la quarantaine

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