« Maîtresse d’un homme marié », ou la parole libérée – JeuneAfrique.com

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C’est une série télévisée qui a fait l’objet de moult articles dans la presse locale et dans plusieurs médias internationaux : Le Monde, la BBC (dont le top 100 des femmes les plus influentes de 2019 répertorie Kalista Sy, la réalisatrice de la série), Jeune Afrique… Maîtresse d’un homme marié aura été le phénomène audiovisuel de l’année au Sénégal. Et aussi sur YouTube, avec à ce jour 2,5 millions de vues pour le cinquantième et dernier épisode.


Diffusé de janvier à octobre, tous les lundis et vendredis en soirée sur la chaîne de télévision 2sTV, le programme a séduit un public majoritairement féminin. Le synopsis ? Une jeune héroïne qui entretient une relation avec un homme marié – d’abord clandestine, puis (re)connue de la femme de ce dernier, modèle d’épouse soumise mais meurtrie. Autour d’elle, une galerie de seconds rôles féminins, marqués, qui par un viol durant l’enfance, qui par la violence d’un mari accro à l’alcool, ou encore sous l’emprise d’un mariage forcé.

La série est sans conteste le lieu d’une parole féminine libérée. Mais, pour ses détracteurs, la goutte de trop aura été la phrase de la « maîtresse », qu’on peut traduire ainsi du wolof, langue utilisée dans la série : « Ce que je possède, c’est ma chose : je la donne à qui je veux ! »

Maîtresse d’un homme marié décrit



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JeuneAfrique

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