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Tous les partis d’opposition sont d’accord pour attaquer le pouvoir de front aux élections législatives de novembre prochain. Mais pas forcément à l’unisson…
Les incertitudes sont grandes à l’approche des prochaines législatives, attendues en novembre au Cameroun. Préoccupée par la crise anglophone et perturbée par le malaise ambiant qui plane depuis la présidentielle d’octobre 2018, la classe politique semble faire peu de cas de ce scrutin, qui avait été reporté en juillet de la même année.
Mais, à quelques mois de l’échéance, les préparatifs vont bon train. S’ils restent discrets, ils occupent une place de choix dans les agendas des différents partis.
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