[ad_1]
Dans la perspective des prochains scrutins, les adversaires d’Alpha Condé se réorganisent mais restent partagés. Sauf sur la nécessité d’une alternance en 2020.
Il y a encore quelques mois, l’Opposition républicaine regroupait les principaux partis autour de Cellou Dalein Diallo, chef de file de l’opposition et président de l’Union des forces démocratiques de Guinée (UFDG). Désormais, elle se résume presque à la seule UFDG. Si cette formation a maintenu son statut de deuxième force politique du pays et de premier parti d’opposition lors des élections communales du 4 février 2018, elle est fragilisée depuis l’exclusion, en février 2016, de son ex-vice-président fondateur, Bah Oury, désormais à la tête de l’UFDG-Renouveau.
Cet article est réservé aux abonnés
Abonnez-vous à partir de 7,99€pour accéder à tous les articles en illimité
Déjà abonné ? Identifiez-vous ›
Vos avantages abonné
- 1. Accèdez en illimité à l’ensemble des articles sur le site et l’application Jeuneafrique.com (iOs & Android)
- 2. Bénéficiez en avant première, 24 heures avant leur parution, de chaque numéro et hors séries Jeune Afrique sur l’application Jeune Afrique Le Magazine (iOS & Android)
- 3. Recevez la newsletter économie quotidienne réservée aux abonnés
- 4. Profitez de 2 ans d’archives de Jeune Afrique en édition numérique
- 5. Abonnement sans engagement de durée avec l’offre mensuelle tacitement renouvelable*
*Service uniquement disponible pour les abonnements à durée libre.
Lire les autres articles du dossier
«Guinée : l’année de tous les paris»
[ad_2]
Source link
Have something to say? Leave a comment: