[ad_1]
Le Mauricien Giovanni Merle, ancien employé de l’ambassade de Maurice à Washington, rejette les propos du ministre des Affaires étrangères, Nando Bodha. En novembre 2017, cet homme avait accusé l’ambassadeur en poste aux États-Unis de lui avoir demandé de couper ses «dreadlocks».
Dans une réponse écrite déposée au Parlement, vendredi, suite à une question de Patrice Armance, le ministre déclare que ce Mauricien a été licencié comme chauffeur/messenger le 4 décembre 2018 pour «gross misconduct». Nando Bodha explique que le jeune homme a d’abord été suspendu le 23 novembre pour plusieurs raisons.
D’abord, affirme-t-il, l’ancien employé est entré dans l’enceinte de l’ambassade sans permission un jour férié alors qu’il n’était pas censé travailler. Par la suite, ajoute-t-il, il a fait une vidéo dans l’ambassade avec comme arrière-plan le drapeau national, qu’il a diffusée sur Facebook sans autorisation, dévoilant l’intérieur du bâtiment. «Ses explications n’ont pas été convaincantes et son contrat probatoire a été résilié», dit-il.
Sollicité des États-Unis, le jeune Mauricien nie être entré sans autorisation sur la propriété de l’ambassade. «C’est une fausse information communiquée par un cadre de l’ambassade qui ne voulait pas de moi dès le départ. Comment savent-ils que j’étais à l’ambassade ce jour-là ?»
Il maintient que la vidéo diffusée sur les réseaux sociaux avait pour but de se défendre contre des actes discriminatoires et pour que les autorités le protègent. «Qui leur a donné le droit de me harceler sur une base ethnique ?»
Le Mauricien Giovanni Merle, ancien employé de l’ambassade de Maurice à Washington, rejette les propos du ministre des Affaires étrangères, Nando Bodha. En novembre 2017, cet homme avait accusé l’ambassadeur en poste aux États-Unis de lui avoir demandé de couper ses «dreadlocks».
Dans une réponse écrite déposée au Parlement, vendredi, suite à une question de Patrice Armance, le ministre déclare que ce Mauricien a été licencié comme chauffeur/messenger le 4 décembre 2018 pour «gross misconduct». Nando Bodha explique que le jeune homme a d’abord été suspendu le 23 novembre pour plusieurs raisons.
D’abord, affirme-t-il, l’ancien employé est entré dans l’enceinte de l’ambassade sans permission un jour férié alors qu’il n’était pas censé travailler. Par la suite, ajoute-t-il, il a fait une vidéo dans l’ambassade avec comme arrière-plan le drapeau national, qu’il a diffusée sur Facebook sans autorisation, dévoilant l’intérieur du bâtiment. «Ses explications n’ont pas été convaincantes et son contrat probatoire a été résilié», dit-il.
Sollicité des États-Unis, le jeune Mauricien nie être entré sans autorisation sur la propriété de l’ambassade. «C’est une fausse information communiquée par un cadre de l’ambassade qui ne voulait pas de moi dès le départ. Comment savent-ils que j’étais à l’ambassade ce jour-là ?»
Il maintient que la vidéo diffusée sur les réseaux sociaux avait pour but de se défendre contre des actes discriminatoires et pour que les autorités le protègent. «Qui leur a donné le droit de me harceler sur une base ethnique ?»
[ad_2]
Source link