[ad_1]
C’est ensemble qu’une paix durable peut se construire. Et chacun a son rôle à jouer : les autorités, la société civile et les organisations non-gouvernementales. C’est ce qu’a fait comprendre le cardinal Maurice Piat, lors de la présentation de sa lettre pastorale, mardi en marge du carême chrétien. Celui-ci débute ce mercredi 26 février, avec l’apposition des cendres qui se fera dans toutes les paroisses.
Il faut mettre fin aux différentes formes de violences qui rongent la société. C’est l’appel que lance le cardinal Maurice Piat dans sa lettre pastorale de carême 2020. Alors que l’année 2019 a été ce qu’il considère comme « un grand cru», avec la victoire de Maurice aux Jeux des îles de l’océan Indien (JIOI) et la visite du pape François, entre autres, il souligne que l’inquiétude demeure au sein de la population. Cela notamment en raison du trafic de drogue qui perdure, des pertes d’emploi, du surendettement, de la précarité du logement. Selon le cardinal Piat, le pays est capable de paix. Mais la violence est latente, telle une maladie silencieuse. « Ainsi vont certaines violences souterraines qui empêchent la vraie paix », a-t-il dit.
Parmi les formes de violences qui sont évoquées dans la lettre pastorale, celles, cachées, du système économique ultra-libéral, du fonctionnement de notre démocratie, des violences sociales et familiales, celles, souterraines, qui rongent le système éducatif.
Pour l’évêque du diocèse de Port-Louis, il est possible de travailler à une paix durable, mais chacun doit apporter sa pierre à l’édifice, car c’est ensemble qu’elle sera durable.
Lors de la présentation de sa lettre pastorale, le cardinal Piat avait à ses côtés le vicaire général, Jean-Maurice Labour.
[ad_2]
Source link
Have something to say? Leave a comment: