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Depuis l’arrestation, fin mars à Tunis, de Moncef Kartas, expert de l’ONU chargé d’enquêter sur les infractions à l’embargo sur les ventes d’armes à la Libye, les interrogations sont nombreuses. Si les autorités tunisiennes reprochent à l’accusé d’avoir « divulgué des données sécuritaires sur la lutte antiterroriste », la défense évoque un dérapage judiciaire.
Ironie du sort, c’est le 26 mars, au lendemain de la journée de solidarité avec les personnels de l’ONU détenus ou portés disparus, que l’arrestation de Moncef Kartas a eu lieu. Si l’organisation n’en est pas à la première détention d’un de ses experts, ces affaires sont souvent vécues comme des tentatives d’intimidation. Elles ciblent la plupart du temps les ressortissants des pays qui les accusent, car leur nationalité prévaut sur leur sol.
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