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Refoulement aux frontières, durcissement des règles d’entrée, refus de visas… les artistes maghrébins font face à des autorités européennes qui semblent toujours plus réticentes à les accueillir. Souvent invités sur le Vieux Continent pour des missions ponctuelles, ils se disent victimes d’un raidissement de la politique migratoire. Témoignages.
« Est-ce que vous avez des attaches en Tunisie ? Une copine peut-être ? Vous comprenez, on ne peut pas prendre le risque d’une immigration clandestine. » Octobre 2018, à l’ambassade d’Italie à Tunis, Haythem Briki, DJ tunisien convié à se produire à la Fashion week de Rome, s’étonne des questions de son interlocutrice.
L’échange est vif. Sa demande de visa a finalement été refusé. « C’était une véritable humiliation, confie le jeune homme à Jeune Afrique. Nous invitons régulièrement des artistes étrangers pour animer des soirées à Tunis. Ils y sont tous bien accueillis et nous, nous ne parvenons même pas à quitter le territoire. »
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