les projets sénégalais peuvent-ils résister à la crise ? – Jeune Afrique

0
96

[ad_1]

L'entrée en exploitation du projet de Sangomar, piloté entre autres par l’australien Woodside, a été repoussée à 2023 au lieu de 2022.

L’entrée en exploitation du projet de Sangomar, piloté entre autres par l’australien Woodside, a été repoussée à 2023 au lieu de 2022. © WOODSIDE ENERGY LTD/AFP

La chute des prix du gaz et la révision drastique par plusieurs majors de leurs plans d’investissements en cette période de crise pourrait menacer le plan de Dakar de rejoindre le club des grands producteurs africains d’hydrocarbures.


Le report d’une année de l’entrée en exploitation du mégaprojet gazier de Grand-Tortue, de 2022 à 2023, suscite des remous dans le secteur naissant des hydrocarbures à Dakar. Ce décalage, officialisé au début de mai 2020 par BP, qui mène le projet en partenariat avec le texan Kosmos Energy, intervient trois mois après celui de l’autre projet phare sénégalais, pétrolier celui-ci, de Sangomar. Piloté par l’australien Woodside, il avait été repoussé lui aussi à 2023 au lieu de 2022. 

Des annonces qui inquiètent au pays de la Teranga, qui espère devenir rapidement un grand État producteur d’hydrocarbures, alors que le cours du baril de Brent a été divisé par deux depuis le début de l’année 2020 ( autour de 35 dollars le baril le 28 mai ). Et qu’actuellement toutes les compagnies pétrolières – majors en tête – coupent dans leurs budgets et investissements.

Sérénité de mise côté gazier

Abonné(e) au magazine papier ?
Activez gratuitement votre compte Jeune Afrique Digital
pour accéder aux contenus réservés aux abonnés.






[ad_2]

Source link

JeuneAfrique

Have something to say? Leave a comment: