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Transformé il y a cinq ans en fonds panafricain, Al Mada a multiplié les mégadeals sur le continent, où il réalise désormais plus d’un quart de ses bénéfices. Au siège de Casablanca, on l’assure : le meilleur reste à venir…
L’année 2020 démarre sous de bons auspices pour Al Mada (littéralement, « perspective »), l’ex-SNI, fonds panafricain appartenant à la famille royale. Nareva, sa filiale énergétique qui a établi sa notoriété dans le royaume, vient de décrocher un premier contrat hors du Maroc.
En consortium avec le français Engie, la société a été déclarée adjudicataire de l’appel d’offres international pour la construction et l’exploitation d’une centrale photovoltaïque d’une capacité de 120 MW, à Gafsa, en Tunisie.
Porte-drapeau de l’économie chérifienne
À travers cette opération, Nareva rejoint ainsi le club des filiales de l’ex-SNI ayant pris une dimension continentale, confortant au passage le positionnement africain de sa société mère, véritable porte-drapeau de l’économie chérifienne.
« Al Mada dispose de l’assise financière et de l’expertise nécessaires pour investir des secteurs très capitalistiques où les autres grands groupes marocains n’osent pas s’aventurer vu la dimension risque de ce genre d’activités », nous explique un connaisseur des arcanes de l’ancienne SNI.
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