[ad_1]
Après avoir connu une croissance rapide sur le continent, le libanais Averda, spécialiste de la collecte des déchets, fait actuellement face à des difficultés au Gabon.
Rabat mérite bien son statut de capitale. Et il y a des signes qui ne trompent pas. L’un d’eux est la propreté des rues, due au travail des hommes en combinaison bleu vif d’Averda. Depuis que la société libanaise a décroché ce contrat de nettoiement des rues et de ramassage des déchets en 2013, à la suite du départ de Veolia, la gestion des quartiers – même les plus peuplés et ceux de la périphérie – est une réussite.
Créée à Beyrouth en 1964 par un ingénieur, Averda a dépassé en 2017 les 450 millions de dirhams (41,3 millions d’euros) de chiffre d’affaires au Maroc. Après s’être fait un nom dans la gestion des déchets d’abord dans les pays du Golfe, c’est dans le royaume que la société de génie civil est partie à l’assaut du continent africain en 2012 – dans le Rif, à Nador, puis à Berkane.
Cet article est réservé aux abonnés
Abonnez-vous à partir de 7,99€pour accéder à tous les articles en illimité
Déjà abonné ? Identifiez-vous ›
Vos avantages abonné
- 1. Accèdez en illimité à l’ensemble des articles sur le site et l’application Jeuneafrique.com (iOs & Android)
- 2. Bénéficiez en avant première, 24 heures avant leur parution, de chaque numéro et hors séries Jeune Afrique sur l’application Jeune Afrique Le Magazine (iOS & Android)
- 3. Recevez la newsletter économie quotidienne réservée aux abonnés
- 4. Profitez de 2 ans d’archives de Jeune Afrique en édition numérique
- 5. Abonnement sans engagement de durée avec l’offre mensuelle tacitement renouvelable*
*Service uniquement disponible pour les abonnements à durée libre.
[ad_2]
Source link
Have something to say? Leave a comment: