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Le chef de l’État intérimaire, Abdelkader Bensalah, ne cesse de répéter que le scrutin présidentiel se tiendra comme prévu le 4 juillet, mais la rue et la plupart des partis politiques y sont défavorables. Alors que l’issue de ce bras de fer apparaît très incertaine, quelle forme pourrait prendre une éventuelle période de transition ?
Jeudi 9 mai, le chef de l’État par intérim Abdelkader Bensalah a reçu le Premier ministre Noureddine Bedoui. Au cours de cette audience, qui a porté sur « l’examen de la situation politique et économique du pays », le chef du gouvernement a présenté « un exposé exhaustif sur le déroulement des préparatifs de la prochaine élection présidentielle, à savoir la révision exceptionnelle des listes électorales, la poursuite du retrait des formulaires de candidature ainsi que les dispositions liées aux aspects matériels mis en place par le gouvernement », a explicité l’agence de presse officielle APS.
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