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Les réseaux sociaux créent des phénomènes d’urgence auxquels le politique se sent parfois obligé de répondre, selon la directrice directrice études et prospective à l’institut Viavoice, Sarah Pinard.
Alors que les réseaux sociaux sont devenus des outils incontournables de la propagande étatique, le web « peut aussi être utilisé par des professionnels capables de jouer des algorithmes pour favoriser la diffusion d’une opinion », explique Sarah Pinard, sondeuse, directrice études et prospective à l’institut Viavoice et docteur en sciences politiques.
Jeune Afrique : Le web concurrence désormais les modes traditionnels d’expression politique. Comment l’expliquer ?
Sarah Pinard : Notre rapport au politique a changé. Il y a une perte de confiance dans la capacité de faire des gouvernants. On ne croit plus à leur omnicompétence, le citoyen va donc vouloir faire lui-même. Dans le même temps, les taux d’alphabétisation ont largement augmenté, la connaissance est accessible en un clic, chaque expert peut participer sur les réseaux sociaux.
On va pouvoir court-circuiter les partis et
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