« Le web n’est pas une agora virtuelle » – JeuneAfrique.com

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L’effervescence autour du cyberespace laisse présager que la révolution numérique sera l’un des moteurs du développement du continent.

L’effervescence autour du cyberespace laisse présager que la révolution numérique sera l’un des moteurs du développement du continent. © Wikimedia Commons/Colin


Les réseaux sociaux créent des phénomènes d’urgence auxquels le politique se sent parfois obligé de répondre, selon la directrice directrice études et prospective à l’institut Viavoice, Sarah Pinard.


Alors que les réseaux sociaux sont devenus des outils incontournables de la propagande étatique, le web « peut aussi être utilisé par des professionnels capables de jouer des algorithmes pour favoriser la diffusion d’une opinion », explique Sarah Pinard, sondeuse, directrice études et prospective à l’institut Viavoice et docteur en sciences politiques.

Jeune Afrique : Le web concurrence désormais les modes traditionnels d’expression politique. Comment l’expliquer ?

Sarah Pinard : Notre rapport au politique a changé. Il y a une perte de confiance dans la capacité de faire des gouvernants. On ne croit plus à leur omnicompétence, le citoyen va donc vouloir faire lui-même. Dans le même temps, les taux d’alphabétisation ont largement augmenté, la connaissance est accessible en un clic, chaque expert peut participer sur les réseaux sociaux.

On va pouvoir court-circuiter les partis et




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JeuneAfrique

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