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Depuis 2005, les touristes avaient déserté la ligne Zouérate-Nouadhibou. Aujourd’hui, ils peuvent rembarquer pour un périple de 500 km à travers les paysages mauritaniens.
Le klaxon de la locomotive retentit. Un troupeau de dromadaires traverse la voie. Alassane Ba, le conducteur, freine brusquement. « Ça arrive souvent ici, il faut être vigilant ! »
Parti de Choûm, localité du nord-ouest de la Mauritanie, le Train du désert met le cap au nord, vers la région du Tiris Zemmour. Vitesse maximale : 60 km/h. Juchés à l’avant de la locomotive, Joël et Sylvie Galtier admirent le paysage. À l’est défilent les dernières montagnes de l’Adrar, le principal massif du pays.
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