Le corps d’une escorte-girl française caché dans une valise avant d’être brûlé et enterré

C’est une histoire digne d’un film policier hollywoodien qui s’est déroulée entre la Suisse et la France au début du mois de septembre puisque le corps d’une escorte a été caché dans une valise avant d’être brûlé et enterré.

C’est Le Parisien qui rapporte l’histoire d’une certaine Marlène G, une escorte qui habitait la ville de Genève qui a vu sa vie prendre fin de manière soudaine et dramatique. Dans la nuit du 9 au 10 septembre, le quotidien explique qu’elle a été tuée dans son appartement de Genève. Son corps a été ensuite transporté dans une valise dans un taxi avant d’être brûlé et enterré à Marin, une commune située en Haute-Savoie. C’est là où les restes de son corps ont été découverts. Une histoire qui fait littéralement froid dans le dos.

Le Parisien explique que deux hommes sont suspectés d’avoir commis ces actes complètement effroyables. Il s’agit de Soheil S et de Sonil C, âgés respectivement de 18 et 39 ans. Ils ont été arrêtés par les forces de l’ordre le 25 septembre dernier, l’un à Evian en France, l’autre à Genève en Suisse. Lors de leurs interrogatoires respectifs, ils ont déjà reconnu une partie des faits, raconte le quotidien. Ils ont notamment expliqué avoir agressé la jeune femme pour lui voiler de l’argent avant qu’elle fasse un malaise. Cependant, ils restent évasifs concernant la suite des événements.

Si une enquête est en cours, Le Parisien explique que les autorités ne pensent pas que cette histoire soit liée à l’activité d’escorte de Marlène G. Alors, qu’est-ce qui expliquerait un tel déchaînement de violence ? Est-ce qu’il s’agit vraiment d’une histoire d’argent ? S’il est impossible de répondre à ces questions pour le moment, il est possible d’en douter. En effet, même si le métier d’escorte peut s’avérer être lucratif, Marlène G vivait dans un modeste studio. Ainsi, rien ne dit qu’elle roulait sur l’or.

Toutefois, il est pour le moment impossible d’y voir clair dans cette histoire pour le moment. Le Parisien souligne que très peu d’informations sur ce dossier ont été rendues publiques en raison de sa complexité. Il s’agit donc d’une affaire à suivre.

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