[ad_1]
La visite du pape François a braqué les projecteurs du monde sur le royaume pendant quarante-huit heures. Temps fort : la signature d’un document sur Jérusalem.
Rien dans le dossier de presse de la visite ne laissait penser que le sujet s’inviterait au menu du voyage papal au Maroc, les 30 et 31 mars. Car, durant ces deux jours à forte charge symbolique, le roi Mohammed VI n’a pas seulement endossé son rôle d’Amir Al Mouminine (« commandeur des croyants »), mais aussi, comme l’a présenté l’agence de presse officielle, la MAP, celui de président du Comité Al Qods (« Jérusalem », en arabe), que le Maroc préside depuis sa création par l’ex-Organisation de la conférence islamique (OCI), en 1979.
Dès le 30 mars, après leur tête-à-tête, les deux chefs d’État convoquent la presse dans la salle du trône. Et font savoir qu’ils vont cosigner un « appel sur Jérusalem, Ville sainte et lieu de rencontre ». Un religieux catholique en poste au Maroc concède en off : « J’en ai entendu parler à peu près trois mois avant le déplacement. Le Palais souhaitait
Cet article est réservé aux abonnés
Abonnez-vous à partir de 7,99€pour accéder à tous les articles en illimité
Déjà abonné ? Identifiez-vous ›
Vos avantages abonné
- 1. Accèdez en illimité à l’ensemble des articles sur le site et l’application Jeuneafrique.com (iOs & Android)
- 2. Bénéficiez en avant première, 24 heures avant leur parution, de chaque numéro et hors séries Jeune Afrique sur l’application Jeune Afrique Le Magazine (iOS & Android)
- 3. Recevez la newsletter économie quotidienne réservée aux abonnés
- 4. Profitez de 2 ans d’archives de Jeune Afrique en édition numérique
- 5. Abonnement sans engagement de durée avec l’offre mensuelle tacitement renouvelable*
*Service uniquement disponible pour les abonnements à durée libre.
[ad_2]
Source link
Have something to say? Leave a comment: