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Natif de Salé, au Maroc, Abdellah Taïa réside désormais à Paris. Dans « La Vie Lente », kaléidoscope de points de vue narratifs et d’histoires entremêlées, il prend le contre-pied d’une littérature maghrébine souvent vue en Europe par le seul prisme de la lutte face à un univers musulman fantasmé et obscurantiste.
Les premières pages de La Vie lente, le dernier roman d’Abdellah Taïa, consistent en un interrogatoire de police. Le héros, Mounir Rochdi, vient de se disputer avec sa voisine, madame Marty. Et maintenant, des agents sont sur son palier. Nous sommes en France, en 2016, peu de temps après les attentats qui ont frappé Paris. Le virage kafkaïen du roman s’amorce déjà : les moindres faits et gestes deviennent suspects.
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