la traque des avoirs pillés, une mission impossible ? (4/5) – Jeune Afrique

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Vue de la tour Galp, à Lisbonne. Le clan dos Santos est actionnaire du géant portugais des hydrocarbures.

Vue de la tour Galp, à Lisbonne. Le clan dos Santos est actionnaire du géant portugais des hydrocarbures. © Vitor Antunes/Flickr/Licence CC

Le pouvoir angolais s’est lancé sur la piste des quelque 100 milliards de dollars disparus durant les années dos Santos. Un scandale qui implique de nombreuses entreprises, tant en Angola qu’à l’étranger.


Les histoires de transferts illicites de sociétés d’État, de contrats d’approvisionnement gonflés et d’accaparement de terres dans la capitale – telles que documentées par les procureurs du gouvernement et le piratage des données des Luanda Leaks – ne sont que la partie visible d’un iceberg gargantuesque, selon des avocats commerciaux familiers avec certaines des plus grosses transactions de la dernière décennie.

À Luanda, de nombreuses autres affaires pourraient être révélées dans les mois à venir, la police judiciaire angolaise prévoyant des descentes dans des entreprises locales soupçonnées de malversations.

Identifier et négocier la restitution des avoirs pillés

Mais au-delà des frontières aussi, les procureurs angolais font la tournée des capitales occidentales, mettent en place des échanges d’informations financières, exhortent les régulateurs à geler les actifs et les comptes. Des sociétés spécialisées dans la recherche d’avoirs s’entretiennent avec des fonctionnaires à Luanda pour entamer le processus minutieux de recherche, puis négocier la restitution des avoirs pillés.

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JeuneAfrique

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