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Tout au long de la Coupe d’Afrique des nations (CAN), les autorités égyptiennes ont eu à cœur de promouvoir l’image d’un pays sous contrôle et ultrasécurisé. Au risque de casser l’ambiance…
Le 21 juin, pour le match d’ouverture de la Coupe d’Afrique des nations (CAN), Égypte-Zimbabwe, le déploiement sécuritaire est impressionnant. Des drones et des hélicoptères survolent le quartier huppé d’Héliopolis, où se trouve le Stade international du Caire. Plusieurs heures avant le coup d’envoi, deux cordons de policiers en uniforme et en civil prennent place autour de l’enceinte : 75 000 spectateurs sont attendus, dont plusieurs chefs d’État africains. Consigne a été donnée par les autorités d’arriver trois heures avant la cérémonie d’ouverture.
Les supporters qui ne se sont pas pliés aux instructions doivent patienter sur le trottoir. Jusqu’à ce qu’un convoi d’agents consente à les escorter vers l’entrée, où ils seront fouillés à trois reprises. Du jamais-vu, même sous le règne de Hosni Moubarak. Lequel avait accueilli deux CAN, en 1986 et en 2006. Pour l’édition 2019, 15 000
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